Sarah Guillou
Sarah Guillou est économiste, directrice adjointe du département innovation et concurrence à l’OFCE.
Les publications de Sarah Guillou
03/12/2019
— Les Notes
À la recherche de l’immatériel : comprendre l’investissement de l’industrie française
Par Sarah Guillou et Caroline Mini
L’investissement immatériel de l’industrie française est moins élevé qu’on ne le croit. Cette Note explique pourquoi le taux d’investissement dans les logiciels des industriels...
03/12/2019
— Les Synthèses
L’investissement immatériel de l’industrie décrypté
Par Caroline Mini et Sarah Guillou
Comprendre pourquoi le taux d’investissement immatériel des industriels français est plus élevé que celui de leurs homologues européens.
26/10/2018
— Les Notes
L’investissement des entreprises françaises est-il efficace ?
Les entreprises françaises investissent plus, et depuis longtemps, que leurs homologues européennes. Pourtant, les performances économiques des entreprises...
26/10/2018
— Les Synthèses
L’énigme de l’investissement des entreprises françaises
Les entreprises françaises ont depuis dix ans un niveau d’investissement plus élevé que leurs homologues dans la plupart des autres pays européens, sans que cela ne produise les bénéfices...
Nos dernières publications
28/09/2023
— Les Docs
Le bassin industriel d’Alès, une histoire de reconversions
Par Caroline Granier
Ancienne région minière, le bassin d’Alès a dû faire face à la fermeture de ses mines à partir des années 1960. Il n’a dès lors cessé de se renouveler, non pas en effaçant son passé...
14/09/2023
— Les Notes
Numérique collaboratif et organisation du travail – Au-delà des promesses
Par Suzy Canivenc et Marie-Laure Cahier
À travers des études de terrain et de nombreux témoignages, cet ouvrage réalisé par la Chaire FIT2, examine les résultats ambivalents que l’utilisation de ces outils produit sur...
25/07/2023
— Les Cubes
Pénurie de compétences et réindustrialisation : un étonnant paradoxe
Par Guillaume Basset et Olivier Lluansi
Notre appareil de formation devrait suffire à notre réindustrialisation, mais trop peu de jeunes formés à ces compétences rejoignent les métiers industriels.