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La désindustrialisation n’est pas une fatalité. En France, mais aussi en Allemagne, Suisse, Italie, Angleterre, Corée du Sud et aux États-Unis, nous avons rencontré des industriels, des chefs d’entreprise, des acteurs académiques et des décideurs publics pour saisir leurs visions et examiner leurs pratiques. Cet ouvrage présente les enseignements et recommandations que nous en avons tirés.
L’industrie italienne peut-elle trouver un nouveau souffle grâce aux technologies 4.0 ? Deux études sont publiées ce jour par La Fabrique de l’industrie : une Note proposant un voyage au cœur des usines 4.0 italiennes et une Synthèse pour accéder aux enseignements que nous pouvons en tirer.
Comment l’Italie peut trouver un nouveau souffle grâce aux technologies 4.0 ? C’est le sujet de cette note qui propose un voyage au cœur des usines 4.0 italiennes. La Fabrique publie la traduction de l’ouvrage italien Industria 4.0 en France, réalisé en 2014-2016 par des chercheurs de Torino Nord Ovest.
La Fabrique de l’industrie propose une synthèse pour accéder aux enseignements que nous pouvons tirer de l’industrie 4.0 en Italie. Ce document complète la publication de la traduction de l’ouvrage italien Industria 4.0, réalisé en 2015-2016 par des chercheurs du think thank Torino Nord Ovest basé à Turin.
Le Royaume-Uni a historiquement mené une politique économique de « laisser-faire » et d’ouverture aux investissements étrangers (IDE). Comme le montre cette synthèse, l’ouverture aux échanges a compensé et non renforcé les faiblesses de l’industrie britannique, même si elle ne peut constituer un remède unique. La difficulté de Theresa May est de maintenir un contexte économique attractif pour les IDE, dont le Royaume a besoin, tout en répondant aux attentes contraires de son électorat et aux défis liés au Brexit.
Le Royaume-Uni a historiquement mené une politique économique de « laisser-faire » et d’ouverture aux investissements étrangers (IDE). Cette synthèse montre que l’ouverture aux échanges a compensé et non renforcé les faiblesses de l’industrie britannique, même si elle ne peut constituer un remède unique. La difficulté de Theresa May est de maintenir un contexte économique attractif pour les IDE, dont le Royaume a besoin, tout en répondant aux attentes contraires de son électorat et aux défis liés au Brexit
Ce lundi 27 novembre 2017, Theresa May a dévoilé la nouvelle stratégie industrielle du Royaume-Uni. Eric Célérier, économiste au sein de l’ambassade de Grande-Bretagne à Paris, la commente pour La Fabrique de l’industrie.
Retrouvez la préface de l’étude “L’investissement étranger, moteur de la réindustrialisation au Royaume-Uni ?” signée par Pierre-André de Chalendar, co-président de La Fabrique de l’industrie.